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À propos

Anne Le Tennier Weyer

J’accompagne depuis plus de vingt années des personnes à apprendre à communiquer, à mettre du sens sur leurs difficultés relationnelles et à regagner confiance en elles.

 

Formée à la Communication Relationnelle selon les travaux de Jacques Salomé (MéthodeESPERE ®), j’ai adhéré à l’Institut ESPERE International pendant 20 années. D’abord formatrice,  je suis ensuite devenue formatrice de formateurs en Méthode ESPERE ®. 

 

La découverte de la communication dans le cadre de mon propre développement personnel puis l’expérience de la transmission m’ont conduite à étoffer mes connaissances afin d’accompagner au mieux les personnes à oser devenir elles-mêmes tout en respectant autrui. 

 

Je me suis alors formée aux Constellations Familiales, à la conscientisation des mécanismes de l’ego et à une approche énergétique de l’être.

 

Au delà de la transmission de la communication relationnelle, j’allie ces quatre démarches pour vous permettre d’apprendre à communiquer puis de faire de vos rencontres et de vos relations, un outil de croissance personnelle. 

Comment ai-je décidé de ma réorientation professionnelle à 40 ans ?

Suite à l’obtention de mon baccalauréat, souhaitant m’inscrire en fac de psycho, j’ai suivi des études de gestion financière pour répondre au désir de mon père.

Mes études m’ont intéressée, bien que ne sachant pas trop quoi en faire.

J’ai finalement  décidé de m’orienter vers la formation pour deux raisons principales :

  • d’une part ce secteur me permettait d’exploiter mes études

  • et d’autre part, bien qu’étant un élément perturbateur en classe, j’étais timide, angoissée à l’idée de devoir présenter un exposé par exemple. Je me suis raconté que le secteur de la formation m’aiderait à dépasser cette gêne paralysante.

Je préparais, sans le savoir, une réorientation professionnelle à venir. J’ai donc exercé une activité de formatrice en création d’entreprise, gestion, comptabilité et analyse financière pendant une quinzaine d’années. Parallèlement à ma vie professionnelle, je vivais des difficultés relationnelles récurrentes, me posant en victime sans en avoir conscience. Puis un jour, grâce à une amie, j’ai rencontré les travaux de Jacques Salomé au travers de ses livres. Je les ai lus et relus, ce qui ne solutionnait aucunement mes problèmes. Face à ce constat, je lui ai écrit. C’est ainsi que j’ai mis le pied dans un premier stage de communication relationnelle. J’ai découvert avec stupéfaction que j’étais co-auteur de toutes mes relations. Très honnêtement, j’ai entamé ce long cheminement en ayant pour objectif de changer l’autre grâce à une communication adaptée, considérant toujours autrui comme responsable

de mon mal-être. Je détournais à merveille ces outils, tout en continuant à m’accrocher à une recherche de prise de pouvoir : avoir le dernier mot et prouver que mes réactions étaient légitimes. Au fil du temps, je me suis rendue compte que cette quête était vaine, vouloir changer l’autre étant voué à l’échec.

Je me suis alors raconté que j’allais pouvoir changer la relation à l’autre, toute la relation… Second échec. 

Puis un jour, j’ai pris conscience que c’était à moi de changer, que ce travail, je le faisais pour moi, que je devais visiter toute mon histoire relationnelle pour mettre du sens sur mon vécu d’adulte et enfin lâcher-prise pour communiquer vraiment, communiquer au sens de mise en commun et non plus alimenter des joutes verbales dont j’étais la championne.

Alors ma vie s’est transformée.

 

Puis un matin, je me suis levée, habitée par une évidence : c’est ce métier que je veux

exercer : accompagner les personnes à apprendre à communiquer, avec elles-mêmes et avec les autres. Je ne me suis posé aucune question. Je me suis formée à la communication relationnelle selon les travaux de Jacques Salomé. Je suis devenue formatrice puis formatrice de formateurs.

J’aurais voulu être professeur de vie

« J’aurais appris aux enfants, aux adultes aussi, les choses délicates et précieuses de la vie : qu’un amour ne s’use pas, que la seule liberté qui vaille la peine d’être vécue est la liberté d’être, qu’il est possible de se laisser surprendre par l’infinie vivance des choses de la vie. J’aurais aimé semer en eux le goût de la curiosité pour ne pas se laisser entraîner par des idées toutes faites, par les modes ou les conditionnements qui s’imposent insidieusement. »

Jacques Salomé

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